Les États-Unis ne comptent pas livrer d’avions de combat F-16 à l’Ukraine

Le président américain Joe Biden a opposé lundi un refus catégorique à l’idée d’envoyer à l’Ukraine des avions de combat américains de type F-16.
 
« Non », a dit le président américain lorsqu’un journaliste l’a interrogé à la Maison Blanche sur la possibilité de fournir les appareils que réclament les dirigeants ukrainiens.
 
Les Occidentaux viennent de franchir un palier dans l’aide militaire apportée à l’Ukraine, après que l’Allemagne et les Etats-Unis ont annoncé l’envoi de chars. Le président Volodymyr Zelensky réclame une assistance encore plus poussée, passant par la livraison de missiles à longue portée et d’avions de combat.
 
Berlin a déjà rejeté catégoriquement cette idée, tandis que le président français Emmanuel Macron a estimé prudemment que « par définition, rien (n’était) exclu », tout en assurant que les Ukrainiens ne lui avaient pas fait à ce jour de demande en ce sens.
 
Alors qu’approche le 24 février, qui marquera un an depuis l’invasion de l’Ukraine, Joe Biden n’a pas voulu dire s’il se rendrait en Europe à cette occasion. Mais il a assuré qu’il irait, sans préciser de date, en Pologne, un pays qui joue un rôle clé dans la réponse à l’invasion de l’Ukraine par la Russie. « Je vais aller en Pologne, mais je ne sais pas quand », a-t-il dit aux journalistes, en regagnant Washington après un court déplacement dans la ville de Baltimore.

Le président américain Joe Biden a opposé lundi un refus catégorique à l’idée d’envoyer à l’Ukraine des avions de combat américains de type F-16.
 
« Non », a dit le président américain lorsqu’un journaliste l’a interrogé à la Maison Blanche sur la possibilité de fournir les appareils que réclament les dirigeants ukrainiens.
 
Les Occidentaux viennent de franchir un palier dans l’aide militaire apportée à l’Ukraine, après que l’Allemagne et les Etats-Unis ont annoncé l’envoi de chars. Le président Volodymyr Zelensky réclame une assistance encore plus poussée, passant par la livraison de missiles à longue portée et d’avions de combat.
 
Berlin a déjà rejeté catégoriquement cette idée, tandis que le président français Emmanuel Macron a estimé prudemment que « par définition, rien (n’était) exclu », tout en assurant que les Ukrainiens ne lui avaient pas fait à ce jour de demande en ce sens.
 
Alors qu’approche le 24 février, qui marquera un an depuis l’invasion de l’Ukraine, Joe Biden n’a pas voulu dire s’il se rendrait en Europe à cette occasion. Mais il a assuré qu’il irait, sans préciser de date, en Pologne, un pays qui joue un rôle clé dans la réponse à l’invasion de l’Ukraine par la Russie. « Je vais aller en Pologne, mais je ne sais pas quand », a-t-il dit aux journalistes, en regagnant Washington après un court déplacement dans la ville de Baltimore.

Le président américain Joe Biden a opposé lundi un refus catégorique à l’idée d’envoyer à l’Ukraine des avions de combat américains de type F-16.
 
« Non », a dit le président américain lorsqu’un journaliste l’a interrogé à la Maison Blanche sur la possibilité de fournir les appareils que réclament les dirigeants ukrainiens.
 
Les Occidentaux viennent de franchir un palier dans l’aide militaire apportée à l’Ukraine, après que l’Allemagne et les Etats-Unis ont annoncé l’envoi de chars. Le président Volodymyr Zelensky réclame une assistance encore plus poussée, passant par la livraison de missiles à longue portée et d’avions de combat.
 
Berlin a déjà rejeté catégoriquement cette idée, tandis que le président français Emmanuel Macron a estimé prudemment que « par définition, rien (n’était) exclu », tout en assurant que les Ukrainiens ne lui avaient pas fait à ce jour de demande en ce sens.
 
Alors qu’approche le 24 février, qui marquera un an depuis l’invasion de l’Ukraine, Joe Biden n’a pas voulu dire s’il se rendrait en Europe à cette occasion. Mais il a assuré qu’il irait, sans préciser de date, en Pologne, un pays qui joue un rôle clé dans la réponse à l’invasion de l’Ukraine par la Russie. « Je vais aller en Pologne, mais je ne sais pas quand », a-t-il dit aux journalistes, en regagnant Washington après un court déplacement dans la ville de Baltimore.

Le président américain Joe Biden a opposé lundi un refus catégorique à l’idée d’envoyer à l’Ukraine des avions de combat américains de type F-16.
 
« Non », a dit le président américain lorsqu’un journaliste l’a interrogé à la Maison Blanche sur la possibilité de fournir les appareils que réclament les dirigeants ukrainiens.
 
Les Occidentaux viennent de franchir un palier dans l’aide militaire apportée à l’Ukraine, après que l’Allemagne et les Etats-Unis ont annoncé l’envoi de chars. Le président Volodymyr Zelensky réclame une assistance encore plus poussée, passant par la livraison de missiles à longue portée et d’avions de combat.
 
Berlin a déjà rejeté catégoriquement cette idée, tandis que le président français Emmanuel Macron a estimé prudemment que « par définition, rien (n’était) exclu », tout en assurant que les Ukrainiens ne lui avaient pas fait à ce jour de demande en ce sens.
 
Alors qu’approche le 24 février, qui marquera un an depuis l’invasion de l’Ukraine, Joe Biden n’a pas voulu dire s’il se rendrait en Europe à cette occasion. Mais il a assuré qu’il irait, sans préciser de date, en Pologne, un pays qui joue un rôle clé dans la réponse à l’invasion de l’Ukraine par la Russie. « Je vais aller en Pologne, mais je ne sais pas quand », a-t-il dit aux journalistes, en regagnant Washington après un court déplacement dans la ville de Baltimore.

Le président américain Joe Biden a opposé lundi un refus catégorique à l’idée d’envoyer à l’Ukraine des avions de combat américains de type F-16.
 
« Non », a dit le président américain lorsqu’un journaliste l’a interrogé à la Maison Blanche sur la possibilité de fournir les appareils que réclament les dirigeants ukrainiens.
 
Les Occidentaux viennent de franchir un palier dans l’aide militaire apportée à l’Ukraine, après que l’Allemagne et les Etats-Unis ont annoncé l’envoi de chars. Le président Volodymyr Zelensky réclame une assistance encore plus poussée, passant par la livraison de missiles à longue portée et d’avions de combat.
 
Berlin a déjà rejeté catégoriquement cette idée, tandis que le président français Emmanuel Macron a estimé prudemment que « par définition, rien (n’était) exclu », tout en assurant que les Ukrainiens ne lui avaient pas fait à ce jour de demande en ce sens.
 
Alors qu’approche le 24 février, qui marquera un an depuis l’invasion de l’Ukraine, Joe Biden n’a pas voulu dire s’il se rendrait en Europe à cette occasion. Mais il a assuré qu’il irait, sans préciser de date, en Pologne, un pays qui joue un rôle clé dans la réponse à l’invasion de l’Ukraine par la Russie. « Je vais aller en Pologne, mais je ne sais pas quand », a-t-il dit aux journalistes, en regagnant Washington après un court déplacement dans la ville de Baltimore.

Le président américain Joe Biden a opposé lundi un refus catégorique à l’idée d’envoyer à l’Ukraine des avions de combat américains de type F-16.
 
« Non », a dit le président américain lorsqu’un journaliste l’a interrogé à la Maison Blanche sur la possibilité de fournir les appareils que réclament les dirigeants ukrainiens.
 
Les Occidentaux viennent de franchir un palier dans l’aide militaire apportée à l’Ukraine, après que l’Allemagne et les Etats-Unis ont annoncé l’envoi de chars. Le président Volodymyr Zelensky réclame une assistance encore plus poussée, passant par la livraison de missiles à longue portée et d’avions de combat.
 
Berlin a déjà rejeté catégoriquement cette idée, tandis que le président français Emmanuel Macron a estimé prudemment que « par définition, rien (n’était) exclu », tout en assurant que les Ukrainiens ne lui avaient pas fait à ce jour de demande en ce sens.
 
Alors qu’approche le 24 février, qui marquera un an depuis l’invasion de l’Ukraine, Joe Biden n’a pas voulu dire s’il se rendrait en Europe à cette occasion. Mais il a assuré qu’il irait, sans préciser de date, en Pologne, un pays qui joue un rôle clé dans la réponse à l’invasion de l’Ukraine par la Russie. « Je vais aller en Pologne, mais je ne sais pas quand », a-t-il dit aux journalistes, en regagnant Washington après un court déplacement dans la ville de Baltimore.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Previous post Lionel Messi : « Je savais que Dieu allait me donner une Coupe du monde »
Next post Liberia: le président Weah annonce sa candidature à un deuxième mandat