Un décret fixe les principales dates de l’année scolaire

Les grandes vacances touchent à leur fin, et la rentrée scolaire pour l’année 2024/2025 approche à grands pas. Le coup d’envoi sera donné le jeudi 3 octobre 2024 à 08h, marquant le début d’une nouvelle année académique qui s’étendra jusqu’au jeudi 31 juillet 2025 à 18h. 
 
Le personnel enseignant et administratif sera le premier à reprendre le chemin de l’école le 3 octobre 2024. Quant aux élèves, ils débuteront les cours le lundi 7 octobre à 08h. 
 
Dans ce document, il est indiqué que l’année scolaire se divisera en trois trimestres : du jeudi 3 octobre 2024 au samedi 21 décembre 2024 à 12h, du jeudi 2 janvier 2025 au mercredi 26 mars 2025 à 18h, et du jeudi 10 avril 2025 au jeudi 31 juillet 2025 à 18h. Les périodes de repos sont également définies : du samedi 21 décembre 2024 à 12h au jeudi 2 janvier 2025 à 08h, et du mercredi 26 mars 2025 à 18h au jeudi 10 avril 2025 à 08h. Les grandes vacances commenceront pour le personnel administratif et enseignant le jeudi 31 juillet 2025 à 18h, et se prolongeront jusqu’au lundi 6 octobre 2025. Pour les élèves, elles dureront jusqu’au mercredi 8 octobre 2025. 
 
 Le calendrier des examens scolaires sera fixé par le Ministre de l’Éducation nationale. Quant aux établissements de formation professionnelle, un arrêté spécifique précisera la répartition des congés et vacances.
 
 L’année 2024/2025 s’annonce donc bien cadrée, permettant aux élèves et aux enseignants de se préparer efficacement pour les défis académiq

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Previous post Alors que Bruxelles bloquait les exportations d’AstraZeneca vers le Royaume-Uni, le Premier ministre de l’époque semblait prêt pour mettre la main sur les vaccins. \ ROYAUME-UNI – De la suite dans les idées… et peut-être même trop. Passé de Premier ministre du Royaume-Uni à chroniqueur pour le tabloïd Daily Mail, l’homme politique britannique Boris Johnson n’a pas fini de surprendre ses compatriotes. Il l’a encore prouvé avec un extrait de son prochain livre, dont des parties ont été dévoilées par son nouvel employeur. Dans ce livre, intitulé Unleashed (c’est-à-dire « déchaîné » en français), Boris Johnson promet de dévoiler ses nombreuses vérités sur la période du Brexit, mais aussi celle du Covid et des fameuses soirées organisées par l’ancien locataire du 10 Downing Street durant la pandémie. C’est donc dans son style inimitable que Boris Johnson a dévoilé, vendredi 27 septembre, qu’il a un temps « envisagé d’envahir les Pays-Bas grâce à un raid spectaculaire à travers la Manche pour récupérer les cinq millions de vaccins volés par les griffes de Bruxelles ». Dans cet extrait de son livre, qui sortira le 10 octobre prochain, Boris Johnson explique s’être très sérieusement entretenu avec des hauts responsables militaires britanniques en mars 2021. En cause ? Des stocks de vaccin AstraZeneca censés revenir au Royaume-Uni, mais qui avaient été bloqué par l’UE aux Pays-Bas en raison d’une querelle commerciale liée aux exportations entre l’UE et Londres. Estimant que Bruxelles traitait son pays « avec malveillance », Boris Johnson aurait donc proposé un plan pour le moins nébuleux, mais très sérieux. « Envahir un allié de l’Otan » ? Vraiment ? Il avait donc, selon ses propres mots, « commandé des travaux pour déterminer s’il serait techniquement possible de lancer un raid maritime sur un entrepôt de Leyde, aux Pays-Bas, afin de récupérer ce qui était légalement à nous et dont le pays avait désespérément besoin ». Dans son récit, il souligne d’ailleurs que l’idée avait été jugée « certainement réalisable » par le chef adjoint de l’état-major de la défense britannique, en se basant sur l’utilisation de bateaux pneumatiques rigides pouvant naviguer sur les canaux néerlandais. Si le plan avait tout d’un projet réalisable sur le papier, l’ex-Premier ministre s’est toutefois heurté à l’avis de ce haut gradé, le lieutenant général Doug Chalmers, qui a confié à Boris Johnson qu’une fois les paquets récupérés, Boris Johnson aurait dû rendre des comptes à ses alliés, en leur expliquant notamment « pourquoi il envahissait un allié de longue date de l’Otan ». Une remarque on ne peut plus pertinente. « Bien sûr, je savais qu’il avait raison, et j’étais secrètement d’accord avec ce qu’ils pensaient tous, mais je ne voulais pas le dire à haute voix : tout cela était fou », glisse au passage Boris Johnson dans ce livre sous forme de mémoires modernisés. Dans le détail, le plan de « BoJo » devait permettre de récupérer les stocks de vaccin, avant une exfiltration dans un camion qui aurait pris la direction des ports de la Manche en vue de regagner le Royaume-Uni. Une anecdote parmi tant d’autres dans cet ouvrage, où Boris Johnson revient également sur ses journées de soins intensifs après avoir contracté le Covid-19, remerciant au passage les « compétences et l’expérience » de ses infirmières, sans qui il ne serait plus là aujourd’hui pour raconter ses histoires… pour le moins farfelues. Tags:
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