Suspension de France 24 au Burkina : Kemi Séba et Nathalie Yamb se réjouissent et encouragent Ibrahim Traoré Le lundi 27 mars 2023, les autorités burkinabé ont suspendu pour une durée indéterminée la «diffusion des programmes de France 24 sur l’ensemble du territoire national». Ouagadougou reproche au média français d’avoir ouvert ses antennes au premier responsable d’Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI). «En ouvrant ses antennes au premier responsable d’AQMI, France 24 ne fait pas seulement office d’agence de communication pour ces terroristes, pire, il offre un espace de légitimation des actions terroristes et des discours de haine véhiculés pour assouvir les visées maléfiques de cette organisation sur le Burkina Faso», avait dénoncé le pays via le porte-parole du gouvernement. «C’est l’ère de la réciprocité» Cette décision des autorités burkinabé réjouit au plus haut point les activistes Kemi Seba et Nathalie Yamb. Ils ont publié sur leur compte Twitter des messages de soutien au président Ibrahim Traoré non sans tacler les médias français. «Interdiction de France 24 au Burkina. Chers médias français, vous passez votre temps à censurer les avis divergents, les avis qui vont à l’encontre de votre impérialisme. Et quand les autres vous rendent la politesse, vous criez au scandale. C’est l’ère de la réciprocité. Que Dieu bénisse notre cher frère Ibrahim Traoré», a tweeté Kemi Seba. «Pleurez fort. Ce n’est que le début» Dans un autre message, le président de l’ONG Urgences panafricanistes s’est moqué de ses cibles : «Pleurez fort. Ce n’est que le début. Vous censurez et caricaturez les panafricanistes souverainistes, mais promouvez les terroristes. Vous allez lire l’heure.» Quant à Nathalie Yamb, elle espère que l’acte posé par le capitaine Traoré fera école dans d’autres pays. Les «pleureurs (je les) attends de pied ferme» «Excellent ! France 24 suspendue indéfiniment au Burkina Faso, suite à la diffusion de l’entretien de son «journaliste» Wassim Nasr avec le chef terroriste d’AQMI. J’espère que d’autres pays suivront l’initiative du président», a-t-elle twitté, avant de mettre en garde les «pleureurs». Je les «attends de pied ferme», a t-elle écrit sur le réseau social à l’oiseau bleu.

 Le lundi 27 mars 2023, les autorités burkinabé ont suspendu pour une durée indéterminée la «diffusion des programmes de France 24 sur l’ensemble du territoire national». Ouagadougou reproche au média français d’avoir ouvert ses antennes au premier responsable d’Al Qaïda au Maghreb islamique (AQMI).
 
«En ouvrant ses antennes au premier responsable d’AQMI, France 24 ne fait pas seulement office d’agence de communication pour ces terroristes, pire, il offre un espace de légitimation des actions terroristes et des discours de haine véhiculés pour assouvir les visées maléfiques de cette organisation sur le Burkina Faso», avait dénoncé le pays via le porte-parole du gouvernement.
 
«C’est l’ère de la réciprocité»
 
Cette décision des autorités burkinabé réjouit au plus haut point les activistes Kemi Seba et Nathalie Yamb. Ils ont publié sur leur compte Twitter des messages de soutien au président Ibrahim Traoré non sans tacler les médias français. 
 
«Interdiction de France 24 au Burkina. Chers médias français, vous passez votre temps à censurer les avis divergents, les avis qui vont à l’encontre de votre impérialisme. Et quand les autres vous rendent la politesse, vous criez au scandale. C’est l’ère de la réciprocité. Que Dieu bénisse notre cher frère Ibrahim Traoré», a tweeté Kemi Seba.
 
 
 
«Pleurez fort. Ce n’est que le début»
 
 Dans un autre message, le président de l’ONG Urgences panafricanistes s’est moqué de ses cibles : «Pleurez fort. Ce n’est que le début. Vous censurez et caricaturez les panafricanistes souverainistes, mais promouvez les terroristes. Vous allez lire l’heure.»
 
 Quant à Nathalie Yamb, elle espère que l’acte posé par le capitaine Traoré fera école dans d’autres pays.
 
Les «pleureurs (je les) attends de pied ferme»
 
«Excellent ! France 24 suspendue indéfiniment au Burkina Faso, suite à la diffusion de l’entretien de son «journaliste» Wassim Nasr avec le chef terroriste d’AQMI. J’espère que d’autres pays suivront l’initiative du président», a-t-elle twitté, avant de mettre en garde les «pleureurs». 
 
Je les «attends de pied ferme», a t-elle écrit sur le réseau social à l’oiseau bleu.

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