
L’ex-producteur déchu de Hollywood Harvey Weinstein a été déclaré coupable lundi d’un viol et de deux agressions sexuelles au terme de son procès à Los Angeles, soit presque la moitié des chefs d’accusation pour lesquels il était poursuivi par quatre femmes. Après deux semaines de délibération, les jurés l’ont estimé coupable de toutes les accusations portées par la première des quatre accusatrices. Ils l’ont déclaré non coupable concernant les accusations d’une deuxième femme, et n’ont pas formulé de verdict concernant les allégations portées par les deux autres. “Pulp Fiction”, “The Artist” L’ancien « roi » du cinéma de 70 ans, qui a produit de grands succès primés comme « Pulp Fiction » ou « The Artist », a déjà été condamné à New York en 2020 à 23 ans de prison pour des faits similaires. Nouvelles accusations Au cours de ce nouveau procès, quatre femmes témoignant de manière anonyme ont accusé avec force détails le producteur de les avoir contraintes à des relations sexuelles dans des hôtels de Beverly Hills et de Los Angeles entre 2004 et 2013. Une cinquième a finalement refusé de témoigner. Un “ogre tout-puissant” Après des semaines d’audiences éprouvantes, souvent interrompues par les sanglots des plaignantes, l’accusation a dépeint M. Weinstein comme un ogre tout-puissant, dont la mainmise sur Hollywood — les films qu’il a produits ont reçu plus de 330 nominations aux Oscars et 81 statuettes — a longtemps empêché ses victimes de parler, par peur de répercussions sur leur carrière.
Le journaliste, directeur de Publication de Dakarmatin, Pape Alé Niang, a été placé sous mandat de dépôt, ce mardi 20 décembre 2022, après son face à face avec le juge Mamadou Seck. Récemment élargi de prison, la liberté provisoire du journaliste n’a duré que quelques jours. Pape Alé Niang a été arrêté chez lui, hier soir par des éléments de la Division des Investigations Criminelles (Dic).
Le Juge d’instruction du deuxième cabinet, Mamadou Seck avait délivré au commissaire Adramé Sarr, chef de la Dic un mandat d’amener contre le journaliste d’investigation.
Une nouvelle inculpation qui serait liée à ses posts sur les réseaux sociaux, visant le directeur de la Police Nationale et qui seraient supprimés depuis hier.